Comment choisir le bon banc de musculation ?
Les effets du sport sur notre organisme ne sont plus vraiment à démontrer. Ce n’est pas un hasard si les agents de santé nous conseillent de faire régulièrement du sport. Au-delà de maintenir notre forme physique et de nous garder en bonne santé, on peut faire du sport pour son propre plaisir et pour avoir un corps bodybuildé. Dans ce cas, on parle de musculation. Pour faire de la musculation, il vous faut du matériel adéquat dont le banc de musculation. Le choix de votre banc de musculation ne doit pas se faire à la légère. Dans cet article, nous vous donnons les critères de choix d’un banc de musculation.
Tissage brésilien : quel appareil choisir ?
Le besoin de se faire belle est inné à la femme. Pour cela, elle doit se coiffer entre autres. Pour le faire, elle peut mettre des mèches classiques de qualité ou tout simplement un tissage brésilien. Le tissage brésilien est l’une des meilleures tendances actuelles dans le monde de la coiffure. Il est l’idéal pour se rendre belle et étendre le volume de ses cheveux. Le tissage brésilien est une qualité de tissage qui a besoin d’être bien entretenu. La pose et l’entretien d’un tissage brésilien nécessitent l’utilisation de certains appareils de coiffure. Découvrons toutes les informations sur la pose et l’entretien du tissage brésilien.
De quoi est fait le tissage brésilien ?
Le tissage brésilien est un tissage différent des tissages classiques qui ne sont pas tout à fait naturel. Il est constitué de cheveux naturels qui ont la propriété de se confondre aux cheveux de l’utilisatrice. Il ne contient pas de produit chimique, ni de composé toxique. Il sera donc difficile pour les autres de différencier vos cheveux du tissage brésilien. Ce dernier s’adapte à toutes les chevelures, à quelques exceptions près. Il s’accommode facilement avec les cheveux frisés, crépus, lisses et même afro. Le tissage brésilien existe en plusieurs types.
Types de tissage brésilien
Il existe plusieurs types de tissage brésilien. Les plus appréciés et les plus vendus sont entre autres le tissage brésilien lisse, tissage brésilien ondulé et tissage brésilien frisé. Ces tissages se posent de la même façon. Ils possèdent plusieurs avantages dont notamment la facilité de pose, l’augmentation du volume et de la longueur de vos cheveux.
La pose
La pose d’un tissage brésilien suit une technique différente de celle de la pose classique. Cette technique demande du savoir-faire et aussi du professionnalisme. La pose d’un tissage brésilien commence par le lissage correct de votre chevelure. Il est recommandé d’utiliser à cet effet un lisseur ou un fer à lisser pour tissage brésilien. C’est l’appareil idéal pour obtenir les lignes d’extension utiles pour la couture du tissage. Une fois que vous avez obtenu les lignes d’extension, l’étape suivante sera de coudre délicatement chaque extension sur la chevelure. Tâchez d’avoir une bonne quantité de cheveux.
L’entretien
Pour jouir pleinement et donner de la brillance à votre tissage brésilien, il est important de l’entretenir. Pour ce faire, il est recommandé de laver et de brosser son tissage. Il est préférable d’utiliser pour le lavage un shampoing sans silicone. Après lavage, il faut sécher d’abord le tissage à l’aide d’une serviette sans le frotter avant d’utiliser un sèche-cheveux pour faire disparaître le restant d’eau. Il ne faut pas utiliser un sèche-cheveux à air chaud mais plutôt un sèche-cheveux à air froid. Le sèche-cheveux à air chaud pourrait endommager le tissage. Il faut ensuite appliquer de l’huile de coco en cas de démangeaisons et bien brosser son tissage. Il faut surtout éviter de laisser le tissage pendant plus de 6 semaines.
Rendez-vous sur le site https://www.tissage-bresilien.org/ pour en savoir plus sur le tissage brésilien.
Complexe d’Œdipe : quand faut-il s’inquiéter pour son enfant ?
De la naissance à la mort, bien des évènements, phénomènes et situations jonchent le parcours de l’humain. Certains sont compréhensibles, d’autres, non. Entres autres phénomènes surprenants, nous avons le complexe d’Œdipe qui survient chez les enfants en bas âge. Il est généralement passager. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Complexe d’Œdipe, quand s’en inquiéter ? On en parle ici.
Qu’est-ce que le complexe d’Œdipe ?
Le Complexe d’Œdipe est un phénomène naturel, une étape normale dans le développement affectif d’un enfant. Il se manifeste par un rejet tout à fait inconscient du parent du même sexe. Cela est dû au développement d’un sentiment d’amour envers le parent de sexe opposé. C’est un concept central de la psychanalyse développé par Sigmund Freud. Il se définit comme un désir inconscient d’une relation sexuelle avec le parent de sexe opposé et une envie d’élimination du parent de même sexe.
La légende d’Œdipe (mythologie grecque) a été à la base de la découverte de ce complexe. Ce dernier apparaît chez les enfants vers l’âge de 3 ans et dure en moyenne 3 à 4 ans. Le petit garçon est amoureux de sa maman. C’est ce qui arrive en général et l’on parle de complexe d’Œdipe positif. Toutefois, le cas contraire peut se présenter ou l’enfant est attiré par le parent du même sexe en rejetant celui de sexe opposé. On parle donc de complexe d’Œdipe inversé ou négatif. Ses manifestations sont variées mais toujours avec le même but: s’ingérer dans la relation sentimentale et sexuelle des parents. On emploie depuis quelque temps plus l’expression « complexe d’Électre », pour qualifier le complexe d’Œdipe de la petite fille envers son papa.
Les situations inquiétantes
Le complexe d’Œdipe se manifeste en général entre 3 et 5 ans et prend fin vers 7 ou 8 ans. Durant ce temps, l’enfant garçon ou fille ressent des sentiments contraires à l’endroit de ses parents, hostiles et amoureux. C’est un phénomène naturel qui disparait avec le temps mais qui peut parfois inquiéter.
Un enfant qui ne demande que toute l’attention du parent de sexe opposé et refuse la présence de l’autre parent est à prendre au sérieux.
Il faut s’inquiéter quant il veut constamment faire des bisous au parent aimé au point de contracter la maladie des amoureux et rester longtemps dans ses bras.
Il faut s’inquiéter si, après avoir bouclé ses 10 ans, il préfère toujours dormir dans le lit d’un des parents, rester avec lui et attirer l’attention.
Cela suscite des sentiments de rivalité et de jalousie entre l’autre parent et l’enfant ; sentiments qu’il faut très vite réussir à canaliser.
Il faut s’inquiéter quand, à la puberté, l’enfant refuse de se lier d’affection avec des adolescents comme lui mais s’investit activement dans sa relation avec l’un des parents. On apprend parfois des histoires déconcertantes du genre un fils qui fait l’amour à sa mère. C’est bien la preuve que les frontières entre le complexe, le fantasme et la réalisation de ce dernier peuvent être ténues.
Le mieux à faire pour faire traverser cette phase à son enfant sans séquelles est de poser des limites dans sa relation avec lui. Quand l’enfant a un certain âge, ne pas lui dévoiler sa nudité à tout va en tant que parent est important.
À quoi sert un kinésiologue ?
Vous entendez parler de kinésiologue. Quelqu’un vous l’a recommandé peut-être parce qu’il vous trouve stressé, mal dans votre peau. Vous en avez peut-être une idée vague. Grâce à cet article, découvrez l’essentiel à savoir sur le kinésiologue.
Définition de kinésiologue
Le kinésiologue est le professionnel de la santé qui pratique la kinésiologie. Le mot kinésiologie vient des mots grecs kinêsis qui veut dire mouvement et de logos, qui signifie science. La kinésiologie est donc la science du mouvement. Par conséquent, le kinésiologue est le spécialiste de l’activité physique. Il utilise le mouvement à des fins de prévention, de traitement et de performance. Sa compétence est de rechercher les informations pertinentes à la détermination des besoins de l’individu. Il essaie d’évaluer la capacité fonctionnelle de la motricité et des déterminants de la condition physique de l’individu. Ainsi, il construit un plan d’intervention spécifique, réalise son intervention efficacement et agit de façon éthique et responsable.
Le rôle du kinésiologue
Les fonctions du kinésiologue s’étalent de la dimension fonctionnelle à la performance, et ce, selon les fondements biopsychosociaux. Les kinésiologues ne sont pas des médecins et ne soignent donc pas. En revanche, leurs techniques permettent de mieux gérer le stress. Ils sont destinés à favoriser un état d’équilibre et de bien-être physique, mental et social à la population. Dans cet exercice, le rôle du kinésiologue consiste à poser des questions pour mieux comprendre le fonctionnement de la personne, les formes de manifestations de son stress. Ainsi détermine-t-il la manière dont elle peut apprendre à le surmonter.
Le kinésiologue doit être capable de s’adapter à la personne qu’il a en face de lui. Il ne doit en aucun cas prescrire ou pousser à arrêter des traitements, ni dicter un nouveau mode de vie à son patient. La kinésiologie est avant tout un échange et comme tout échange, la séance se passe mieux quand on est en confiance avec son interlocuteur. Le kinésiologue aide aussi le patient à surmonter les maux chroniques tels que la boulimie, le mal des transports, les douleurs, l’énurésie, la mélancolie, l’indécision, l’irascibilité, les phobies, les difficultés d’orientation et de choix de vie…
Comment devient-on kinésiologue ?
Pour devenir kinésiologue, il faut suivre une formation universitaire dans le domaine de la kinésie. Lorsque l’apprenant termine sa formation universitaire, il possède des connaissances générales qui lui permettent d’avoir une intervention de base avec l’ensemble de la clientèle qu’il dessert. Les sphères d’intervention sont : la prévention, la réadaptation, la performance et la modification des habitudes de vie.
À prendre en compte
Chaque kinésiologue a son expérience propre. C’est pour cela qu’avant de choisir votre kinésiologue, il est essentiel de vous renseigner sur son profil. Il est vivement recommandé de choisir son praticien dans les listes régulièrement validées et mises à jour des kinésiologues. Vous pouvez par exemple consulter l’annuaire de la FFK (Fédération Française de Kinésiologie) ou le Registre national des kinésiologues.
Aussi, avant de vous engager dans un traitement chez un kinésiologue, faites une comparaison des rapports qualité/prix. Le plus souvent, le tarif du kinésiologue vous renseigne sur le prix et la durée de chaque séance.
Onanisme : comment s’abstenir efficacement ?
Elle apparaît comme un rituel quotidien une fois que l’habitude est prise. On la pratique alors dans l’intimité d’une chambre à coucher ou dans des endroits discrets comme les toilettes. L’onanisme, on préfère le taire mais on n’ignore pas qu’il a des effets sur la santé. Dans cet article, nous essayons de donner la définition de l’onanisme, ses causes, ses conséquences et surtout les moyens de s’en abstenir efficacement
Onanisme: l’origine du mot
L’origine du mot « onanisme » provient d’un passage biblique (Genèse 38, 8-10) dans lequel il apparaît qu’un certain Onan se souillait à terre lorsqu’il allait vers la femme de son défunt frère. Plus loin dans le chapitre, on remarque que Dieu le fit mourir. Ce verset dépeint l’onanisme comme un opprobre. Mais il convient de signaler que l’autosatisfaction sexuelle est totalement différente de l’acte d’Onan qui n’est plutôt qu’une interruption de coït. Aujourd’hui, la définition du mot est telle : toute satisfaction sexuelle qu’on se procure consciemment ou inconsciemment. On emploi comme synonyme à l’onanisme, la masturbation.
L’onanisme : les causes et les conséquences
Le plaisir sexuel n’implique pas toujours qu’on soit deux. L’acte sexuel peut aussi s’accomplir seul en utilisant ses mains ou des objets de la vie de tous les jours. La pratique est plus répandue chez les hommes que chez les femmes. À la différence du pénis, le vagin a très peu de contacts (le clitoris, petit et caché, n’est généralement pas touché par les vêtements ou l’eau de la toilette). La découverte de la masturbation chez la jeune femme est donc tardive comparativement à celle du jeune homme.
La principale cause de masturbation est la pornographie, ensuite viennent le célibat, la timidité d’aller vers le sexe opposé, etc. Cette pratique comme toute activité sexuelle libère des endorphines qui conduisent à un sentiment de bonheur. Ce sentiment grimpe en flèche lors de la jouissance.
L’onanisme soulage du stress selon les experts, accélère la menstruation chez la femme et diminue la douleur, lutte contre les infections. Il prévient du cancer de la prostate chez l’homme. Mais tout le monde le sait, l’abus en toute chose, nuit. La masturbation abusive provoque souvent généralement la dépendance, un sentiment de honte, une perte de la libido. Généralement, elle provoque chez les hommes des troubles érectiles.
Comment se passer de l’onanisme ?
Voici quelques conseils pour pouvoir s’abstenir efficacement de l’onanisme :
- Il faut que vous essayiez de trouver une nouvelle passion qui vous prendra du temps comme le fait de pratiquer un sport.
- Pour les célibataires, il serait préférable de passer à l’action. En fait, l’addiction à la masturbation disparaît généralement dès que vous avez des relations sexuelles normales.
- Si l’envie d’onanisme tend à prendre le dessus, essayez de ne plus vous retrouver seul(e). Sortez de la maison pour un lieu public ou appelez un(e) ami(e).
- Evitez de visionner des images ou vidéo à caractère pornographique.
- Pratiquez la méditation : ses aspects positifs sur la santé permettent d’être plus distant par rapport à ses désirs et de mieux gérer les montées émotionnelles.
- Tenez un calendrier en cochant les jours où vous réussissez à résister et récompensez-vous lorsque vous arrivez à ne pas céder à la tentation.
Qu’est-ce qu’une névrose ? Comment la surmonter ?
La névrose ! Vous en entendez parler, vous connaissez peut-être des gens qui en souffrent. Vous vous demandez ce que c’est et comment la surmonter. Cet article vous donne la définition de la névrose, ses différents types et vous dit comment la soigner.
Qu’est ce que la névrose ?
La névrose est une pathologie de la personnalité, de gravité mineure, qui n’entraîne pas de troubles graves du comportement. Elle ne nécessite donc pas d’internement à l’hôpital. C’est un trouble psychique selon lequel le sujet est conscient de sa souffrance psychique et s’en plaint. La névrose est différente de la psychose qui se caractérise par l’altération de la perception ou du jugement (délire ou hallucinations) et dont la personne qui en souffre n’en n’est pas conscient.
Types de névrose
On distingue plusieurs types de névroses :
- La névrose d’angoisse
Cette névrose se développe sur des personnalités anxieuses qui présentent en général les caractères suivants : une timidité importante, une très grande émotivité et une hypersensibilité, une grande difficulté à prendre des décisions, un état de tension psychique permanent, la recherche de la perfection, le besoin d’être rassuré en permanence.
- L’anxiété chronique
C’est un trouble émotionnel qui se manifeste par un sentiment d’insécurité. L’anxiété chronique est caractérisée par un sentiment d’appréhension, de tension, de malaise, de terreur face à un péril de nature indéterminée.
- La névrose phobique
C’est une réaction émotionnelle anxieuse déclenchée par une situation donnée. Elle se caractérise par un état constant d’alerte et de vigilance, une conduite de fuite par évitement de tout engagement, par passivité et inhibition ou par une fuite en avant.
- La névrose hystérique
C’est un type de névrose très fréquent aussi bien chez l’homme que chez la femme. Cela est caractérisé par une demande affective très importante, une vie imaginaire riche, des sentiments exprimés de manière exagérée.
- Névrose obsessionnelle
Elle est caractérisée par l’existence de sentiments, d’idées, de conduites qui s’imposent de façon contraignante et qui entraînent le patient dans une lutte incessante et anxieuse. Ces obsessions assiègent le malade, s’imposent malgré lui alors qu’il a conscience de leur caractère pathologique. La névrose obsessionnelle est assez difficile à soigner.
Quelles sont les causes de la névrose et comment la soigner ?
Les causes de la névrose sont diverses. Des expériences de vie, telles que les carences affectives, les violences familiales, un climat familial insécurisant, la perte d’un être cher sont entres autres les causes de la névrose. La névrose peut être aussi due à un conflit psychique non résolu (impossibilité de choisir entre deux pulsions contradictoires, d’intégrer un interdit, de surpasser un traumatisme).
Pour traiter et soigner la névrose, il faut avant tout une prise en charge par un psychiatre. Généralement, un traitement médicamenteux est effectué. Les anxiolytiques et/ou antidépresseurs sous ordonnance permettent de soigner un tant soit peu la névrose. Un soutien affectif de la part de l’entourage du névrosé est aussi très important pour soigner ce dernier. Il y a également la psychothérapie qui va à la racine des causes de la névrose.
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